LES CUISINES

Nombre de messages : 202 Date d'inscription : 08/11/2006

Aprés mettre installez et une bonne matiné de travail dans mon bureau je parti vers les cuisines pour me restauré un peu....

MONSIEUR LE CUISTO UNE PETIT SPECILITE DE LA REGION S'IL VOUS PLAIT ...

Je devoraire ce festin est bientot reparti vers mes bureau...

Nombre de messages : 117 Date d'inscription : 16/12/2006

Diantre que ce chateau était grand!

Partie dans la direction indiquée par le majordome pour rencontrer le chambellan, Orion s'était malencontreusement perdue jusqu'aux cuisines...
De suite, elle tira parti de cet incident qui n'en était pas vraiment un et toqua à la porte des cuisines avant d'y pousser une tête prudemment.

Bonjour! Y a t-il quelqu'un? Dame Bertrade? Puis-je entrer?

Ne recevant aucune réponse, elle entra encore plus prudemment et s'arrêta dès l'entrée. Ne voulant provoquer l'ire de la maitresse des lieux, sur un banc de bois elle s'assit, regardant avec émerveillement les filets d'échalote pendre d'un côté, les jambons de l'autre, les étagères remplies de bocaux, les paniers de fruits et légumes, et surtout, les marmites et casseroles de cuivre soigneusement astiquées alignées au mur.

Nombre de messages : 202 Date d'inscription : 08/11/2006

theking qui été parti cherché un couteau en cuisine pour coupé la tarte voya orion assis sur un banc:

ben, qu'est ce que vous faite là?

tout étonné theking demanda:

Venez avec nous au repas.... Comment sa vous voulez pas déranger?..... mais si venez vous allez géné personne tout le monde et là bas d'ailleurs allez venez...

theking prit le couteau et dit a orion:

allez on va mangez un bout de cette tarte au pomme

theking ferma la marche et dirigea orion dans le couloir.

1er porte a droite, orion

Nombre de messages : 202 Date d'inscription : 08/11/2006

theking alla discretement vers les cuisine prend un peu nourriture

bon, bon où est le saucisson????.... a voivi le fois gras, miam miam, du pain, je me demande si il reste de cette boisson bretonne dans un de ces placard

l'ambassadeur fit un tas de rafus pour trouvé une bouteille

ah non de dieu, il reste de la tarte au pomme

il continua a prendre de la nourritue et quand il eu finit, se dirigea en secret dans le chateau jusqu'à son bureau, esperant de ne pas trouvé quelqu'un sur son passage

Nombre de messages : 117 Date d'inscription : 16/12/2006

Orion entra dans les cuisines et fit signe à Vegoku de s'assoir sur le banc. Entre un jambon cru entamé pendu à une poutre et un chapelet de saucisses, elle mit la main sur le pâté de lièvre. Puis dénicha le chausson derrière les galettes... et les brandit triomphalement.

Pâté ou chausson? Chausson ou pâté? Ou les deux descendus avec de l'hypocras?

Invité

Végoku suivit Orion jusqu'a la cuisine puis lui dit:

Le choix numéros 3 . Mais tu vas quand meme pas me laisser manger seul?

Nombre de messages : 117 Date d'inscription : 16/12/2006

Que nenni! Je partagerai avec plaisir ton en-cas cher collègue! Very Happy

Laissant Vegoku déboucher la bouteille d'hypocras, elle servit les chaussons de pommes et mit le pâté à réchauffer au four à pain.

En attendant que ce pâté se réchauffe un peu, buvons!
Tiens, souvenir de La Rochelle... Tu connais la blagounette de la petite crevette au bord de l'eau?

Bientôt, l'odeur du paté de lièvre en croûte relevé de ses petites herbes aromatiques emplit la pièce et s'insinua même à l'extérieur dans les couloirs...

Elle est sur le bord de l'eau et elle pleure.
Passant par là, un escargot lui demande :
- Mais pourquoi pleures-tu ?
- Ma mère est partie à un cocktail et n'est toujours pas revenue... tongue

Invité

Végoku déboucha la bouteille et il se mit à rire en entendant la blague d'Orion puis il remplit leurs verres en attendant que le pâté de lièvre qui sentait si bon soit enfin cuit.

Nombre de messages : 117 Date d'inscription : 16/12/2006

A la tienne Veg! Allez! Une petite tranche de pâté avant de repartir au travail!

Et elle servit une copieuse tranche à Vegoku.

Alors comme ça tu vas être des notres.... Tu as des talents qui seraient forts utiles en effet...

Invité

Végoku but une gorgée de son verre et mangea une bouchée du patée.

Des votres je ne sais pas encore faut voir si on m'accepte.Mais si on m'accepte je pense que le poste me conviendrais...

Katou arriva aux cuisines, elle demanda à Bertrade de préparer une table pour notre invité.

Bien le bonsoir dame Bertrade, nous voudrions cette table, pour le moment nous serons trois mais je suis sur que d'autres vont se rajouter.
Dites moi dame Bertrade, qu'avez vous concoctez ce soir ?

Messire Pat et Katou prirent place et attendirent dame bardaya qui était encore dans les caves.

Rydley fit une petite pause dans son travail ,il se dit qu'il était venu le temps d'aller visiter un peut la tour de losse pour trainer un peut partout et voir ce qui s'y passe il descendit donc de son aile diplomatique pour se rendre tout d'abord dans les cuisines du chateau ,il y arriva tant bien que mal à les trouver car la demeure étant grande on s'y perdait facilement .
il entra:

Bonjour y a quelqu'un j' ai un petit creux après tout ce travail.

personnes ne répondit la cuisinière devait bien trainer quelques part mais pas dans sa cuisine ,tant pis pensait il que diable il faut que je mange.
Sur une table près des fourneaux il trouva une grosse miche de pain et quelques confitures qui se trouvait la .

Ma fois sa fera l'affaire

Il commença a manger et apperçu un peut plus loin une bonne bouteille de vinace qui n'attendait plus que d'être goutée ,il s'en servi un petit verre .
Après cette bonne collation il descida d'aller faire un petit tour dans les jardins de la tour il devait certainnement y avoir de très belles choses a voir .
Il sorti donc de la cuisine .........

Nombre de messages : 68 Date d'inscription : 17/08/2007

La situation s'était calmée dans le Périgord enflammé, bien que constamment sur le "qui-vive", Takeo avait un peu plus de temps libre depuis son retour de Cahors. La mission "diplomatique" avait échoué et de quelle manière !

C'est ainsi que, bravant les lois scientifiques sur le sommeil, le jeune, robuste et fatigué forgeron et accessoirement ambassadeur, avait prit la route pavée de la tour de Losse, proche de Périgueux, capitale du Périgord et Angoumois, où l'ancien maire de Castillon stationnait en ce moment.

Alors que la Lune au trois quarts pleine brillait bien haut dans le ciel de nuit, Takeo arriva à la tour. Sans bruit, il mît pied à terre dans la cour et laissa sa jument accrochée non loin, dans l'herbe, de manière à ce qu'elle puisse manger. Se rappelant l'heure tardive, il renonça à appeler le palefrenier de l'institution et alla lui même puiser de l'eau au puy qu'il disposa à côté de la jument éreintée pour que le fier animal puisse se reposer et étancher sa soif.

C'est ainsi qu'en pleine nuit, le jeune homme s'introduit sans bruit dans le hall. Les pas de ses bottes raisonnant légèrement sur les dalles, il prît la direction d'une porte dérobée à l'autre bout, s'enfonçant dans un goulot assez large menant au sous-sol, lieu intéressant pour ses cuisines. Arrivé en bas des marches, une large ouverture se présenta a lui sur sa droite mais il continua au fond du couloir antique et poussiéreux devenant de plus en plus étroit.

Le pas du jeune homme, malgré sa fatigue était des plus déterminé, sans mots, sans émotions apparente. Il déboula dans une petite salle faiblement éclairée de par l'ouverture pratiquée dans un minuscule soupirail, laissant passer la blafarde lumière de l'astre de nuit.

La pièce dans laquelle il était se trouvait être la cave de l'édifice. Sans grande lumière pour se repérer; il prît une bouteille au hasard, priant pour que cela soit un vin assez bon. Elle se trouva être assez clair malgré la pénombre et le forgeron fît marche arrière et retourna dans le goulot étroit jusqu'au pied de l'escalier. Là il prît sur sa gauche, dans la large ouverture qui était l'entrée de la grande cuisine de Losse.

A cette heure-ci, personne ne s'affairait en cuisine, bienheureux étaient ces domestiques dormant la nuit. De larges fenêtres en hauteur éclairaient faiblement la pièce ainsi qu'une chandelle assez usée mais remplissant son rôle. Takeo la prit puis s'afféra, après avoir poser le vin chapardé sur la table, à allumer quelques autres chandelles pour que l'on puisse y voir clair.

C'est alors qu'il alla au garde-manger, voir si un peu de viande séchée, de pain et de fromage s'y cachaient. Il en trouva sans problème ainsi que quelques fruits assez frais. L'ambassadeur prît tout cela et alla le disposer sur la table puis après avoir trouvé un gobelet, il s'asseya confortablement sur une chaise un peu vieillotte et bancale, mais bon ... après ce dernier mois à dos de cheval, tout lui paraissait confortable, même les cuisses vérolée d'une vieille catin édentée ... heu non, faut pas pousser non plus.

Takeo ouvrît la bouteille de vin qui s'avéra être son vin préféré, quelle coïncidence ... le doux goût fruité des raisins blancs de Monbazillac, son vin chéri ! Aaah quelle délectation que de déguster ce nectar d'ambroisie après de la route. Tout en reposant son gobelet, il sortit une de ses petites dagues acérées et coupa de quelques gestes précis, une bonne tranche de pain et quelques morceaux de viande séchée qu'il mâchouilla, comblant sa faim.

Carminian avait fait le plus urgent. Elle reparcourut la missive que lui avait laissé dame Elayne et soupira, les bras encore chargés de documents qu'elle devait consulter pour se mettre à jour.

Le voyage ainsi encombrée de Périgueux à Losse avait été fatiguant, mais oubliant les appels de ses membres épuisés, elle avait quand même parcourut la Tour en long et en large afin de faire avancer quelques dossiers.

Maintenant, alors que ses bottes résonnaient clairement dans les couloirs vides de Losse, elle sentait la lassitude de la journée la gagner. Elle avait bien mérité un petit moment de détente.

C'est donc tout naturellement qu'elle se dirigea vers les cuisines pour y trouver quelques réconforts matériels. Tout en poussant la porte, elle défit le morceau de tissu entravant ses cheveux et les laissa cascader sur ses épaules basses. Les yeux dans le vague, elle posa sans ménagement la pile de parchemins qu'elle transportait sur une table et se laissa tomber sur un banc.

Les yeux fermés, se massant légèrement les tempes, elle savoura quelques instants la quiétude ambiante avant de rouvrir ses paupières doucement. Un instant, elle observa la lueur vacillante des quelques chandelles allumées avant de froncer les sourcils. Qui avait donc laissé ces bougies ainsi ? Les serviteurs devaient être couchés depuis longtemps et ce n'était pas dans leur habitude de faire de telles négligences.

un bruit derrière elle l'a fit revenir totalement à la réalité et se retournant vivement, elle découvrit Takeo, tranquillement installé, s'improvisant un encas plus que conséquent. Un infime soupir de soulagement la secoua, puis elle détailla le jeune homme qui semblait plus que fatigué également malgré son appétit dévorant. Un signe vigoureux de la tête pour le saluer, elle s'avança vers lui, s'assit sur un banc et lui demanda :

Une petite fringale ou bien une insomnie ? ou les deux peut-être ?

Nombre de messages : 68 Date d'inscription : 17/08/2007

Cela faisait quelques minutes que Takeo dévorait à pleine dent son morceau de viande séchée lorsque une tempête blonde et bouclée débarqua par la large ouverture de la cuisine.

Elle ne fît pas attention au jeune et robuste homme qu'était le castillonais et se vautra sur un banc. ... il l'avait connu avec un peu plus de grâce que cela. Le forgeron ne pu que sourire en voyant Carminian.

Ce n'est qu'au bout de quelques instant qu'elle le vît et qu'elle le considéra avec surprise puis assurance.

Takeo avala sa dernière bouchée puis bût un trait le fond de son verre et lui sourît.

-" Une petite fringale, ça fait deux jours que je n'ai plus le temps de manger, ma belle ... "

Le fatigué jeune homme considéra la jolie blonde un nouvel instant;

-" Une fringale aussi ? damoiselle la vice-chancelière ? " tout en insistant sur le titre donné.

Il lui tendit alors le morceau de viande séchée et son gobelet ...

-" Tu as l'air fatiguée, ma grande ? ... on fait du sur-ménage ? "